Le taux de CDT (Transferrine Carboxy Déficiente) fait référence à une protéine spécifique qui est présente dans le sang et qui mesure l’alcoolisme chronique. Il est couramment utilisé pour aider à diagnostiquer et traiter l’alcoolisme. Un niveau élevé de CDT peut indiquer un alcoolisme chronique et doit être surveillé afin de déterminer si des interventions sont nécessaires pour réduire la consommation d’alcool.
Les personnes souffrant d’alcoolisme ont tendance à avoir des niveaux plus élevés de cette protéine, ce qui peut entraîner des effets nocifs s’ils ne sont pas correctement traités. Pour faire baisser le taux de transferrine carboxy déficiente, il est important de limiter sa consommation d’alcool ou même d’arrêter complètement son utilisation abusive ou excessive pendant au moins six semaines. Des interventions supplémentaires peuvent être mises en œuvre pour aider à réduire les risques associés à l’alcoolisme chronique.
Quels sont les causes d’un taux élevé de CDT ?
Les principales causes du taux élevé de CDT sont l’abus ou la consommation excessive d’alcool. Les personnes souffrant d’alcoolisme ont tendance à avoir des niveaux plus élevés de cette protéine, car elles boivent plus que la quantité recommandée par jour. De plus, certains médicaments peuvent entraîner une augmentation du taux de transferrine carboxy déficiente, en particulier ceux qui contiennent des doses importantes d’alcool ou des stupéfiants comme la morphine ou le codeine.
Comment faire baisser son taux de CDT ?
Il existe différentes façons de faire baisser le taux de transferrine carboxy déficiente chez les personnes souffrant d’alcoolisme chronique. La première consiste à limiter sa consommation d’alcool, ce qui signifie qu’il faut boire moins que la quantité recommandée par jour (moins d’un verre pour les femmes et moins de 2 verres pour les hommes). La seconde consiste à arrêter complètement l’utilisation abusive ou excessive d’alcool pendant au moins six semaines afin que les niveaux reviennent à la normale.
Enfin, certains moyens supplémentaires peuvent être mis en œuvre pour aider à réduire le risque lié aux effets nocifs associés à un alcoolisme chronique, notamment une consultation nutritionnelle, l’utilisation judicieuse des moyens contraceptifs ou encore une prise en charge psychologique ad hoc par un professionnel qualifié.